on tourne en rond, petit patapon, et on se répète, pouet pouet
Ce matin je réécoutais tranquillement Piano (2004) et Kehai to Yoin (2008) de Harada Ikuko et me faisais la réflexion que scrogneugneuh cette nana n’avait pas seulement sortit le meilleur album de pop jap’ de 2008 mais aussi que ses quatre albums solos étaient tous des putains de chefs d’oeuvre. Si si, je vous assure.
Un de ses jours je vous entretiens au sujet de son dividi.
Coïncidence (ou pas), je découvre aussi qu’il existe une vidéo accompagnant la sortie de Ginga (en version courte, l’originale durant à peu près 14 minutes).
‘Ginga’ de Harada Ikuko (avec Imawano Kiyoshiro)
Un de ses jours je vous entretiens au sujet de son dividi.
Coïncidence (ou pas), je découvre aussi qu’il existe une vidéo accompagnant la sortie de Ginga (en version courte, l’originale durant à peu près 14 minutes).